Les Murmures de l’Éveil - Cécile s’était pointe à nuage acclimatée à sa révélation tenue. Ses jours étaient remplies de défis professionnels et de découvertes humaines. Elle s’émerveillait encore de la multitude culturelle qui l’entourait et des messages infinies qu’offrait cette grande ville cosmopolite. Mais au fond d’elle, une impression ininterrompu l’habitaient : une impression que des éléments de plus significatif était sur le niveau d’émerger. Un soir, en se promenant autour d’un canal bordé d’arbres illuminés par des guirlandes, elle reçut un frais envoi de signal d’Olivier. « L’éveil figuratif ressemble à une rivière calme. Il ne s’agit pas de déterminer le habituel, mais de l’observer et de lui aider à passer par son fil. Avez-vous remarqué les astres récents qui entourent vous ? Ils sont capables de sentir des justifications farfelues. » Elle réfléchit à ces signes en rentrant chez elle. Ces derniers journées, des des fêtes discordants s’étaient multipliés : une liaison fortuite avec un mystérieux qui avait touché un domaine précis qu’elle avait à l’esprit, un présente qu’elle avait trouvé par fatum et qui semblait satisfaire ses questionnements, ou des pensées récurrents dans lesquelles des clichés de aurore et d’eau revenaient constamment. Cette nuit-là, elle décida de noter ses désirs et ses jugements dans un carnet. Elle se souvenait des recommandations d’Olivier : « L’écriture est un miroir. Lorsque vous notez vos troubles, elles cessent d’être des fragments flottants pour devenir des voyances palpables. » En relisant ses annotations, elle remarqua un origine : tous ses projets semblaient l’inviter à voir un endroit qu’elle n’avait jamais perçu, un paysage étrangement relation texte de montagnes et d’une grande étendue d’eau. Le lendemain, poussée par une relation, elle décida de visiter un marché local où elle aimait flâner. Parmi les étalages d'articles artisanaux, une peinture attira son distraction : elle représentait bien le paysage de ses rêves. Stupéfaite, elle demanda à l’artiste d’où venait cette cartomancie.
L’intérieur était de front mystérieux et apaisant. Une masculinité âgée, aux yeux pénétrants, l’accueillit. « Vous semblez porter une large pas avec vous, à auquel vous n’avez pas encore trouvé de votre résultat, » dit-elle, notamment si elle lisait dans son humeur. Cécile sourit nerveusement et acquiesça. La féminitude l’invita à s’asseoir et lui proposa une guidance de tarot. Alors que les carte étaient retournées une à une, un passif se dessinait : le Fou, mentionnant un présent départ ; l’Étoile, affirmant l’espoir ; et le Soleil, représentant la casse-tête. « Vous êtes surement sur le plaisant chemin, » dit l'homme. « Mais n’oubliez pas que les carte ne prédisent pas l’avenir. Elles ne voudraient faire que révéler ce que vous portez déjà en vous. » Cette consultation au téléphone marqua Cécile. Elle se rendit compte que, même à des milliers de kilomètres de chez elle, elle continuait à représenter guidée par les intentions et les connaissance qu’elle avait appris à cultiver. En rentrant chez elle ce soir-là, elle alluma son téléphone et vit un énoncé non lu d’Olivier. « Vous avez franchi une étape grande. Mais souvenez-vous, le voyage intérieur ne s’arrête jamais. Prenez les siècles d’honorer tout renseignement, car elles sont les jalons de votre destinée. » Cécile sourit en parcourant ces visions. Elle savait que son billet était loin d’être terminé, mais elle était prête à saisir chaque étape avec résolution et voyance olivier singularité. Le voyage était devenu sa destination. Cécile posa son sac touchant à la fenêtre de sa chambre d’hôtel, sillonnant l'éclairage déclinante qui teintait le paysage d’une en douceur lumiere doré. Ce instant de l'harmonie était un contraste poignant avec les émotions tumultueuses qu’elle avait traversées en menant ici. Elle ne pouvait s’empêcher de penser au voyage qu’elle avait commencé, pas seulement géographiquement, mais encore intérieurement. Sa règle de tout venir avait persisté risquée, mais sur-le-champ qu’elle se trouvait là, elle ressentait une valeur qu’elle n’avait jamais soupçonnée en elle. Un souvenir lui revint soudainement, un moment enfoui dans sa souvenance. Elle avait huit ans et tenait la coeur de sa mère alors qu’elles traversaient un champ rempli de coquelicots. Sa mère lui avait dit ce jour-là : « Cécile, n’aie jamais effroi de voir accent odorat. Il te mènera immensément là où tu dois être. » Ces messages, qu’elle n’avait pas compris ardemment à l’époque, résonnaient juste comme par exemple une guidance.